Un test qui ne m'emballait pas...
Lorsque l’équipe a décidé de tester les fameux « puffs » démaquillants, ces éponges en microfibres dont tout le monde parle en ce moment, j’avoue que je n’étais pas tellement enthousiaste.
D’accord, l’argument écologique est imparable : plus de cotons à acheter et jeter, plus de lotion, tonique, lait à utiliser… faire du bien à la planète, oui ! Mais à ma peau ?
Parce que deux « détails » me gênaient : en premier lieu, je suis une femme d’habitudes. J’aime mes rituels quotidiens – je sais, je sais, c’est mon côté gnangnan, mais je l’assume ! –, et le démaquillage en fait partie. Mes disques de coton me servent de test : tant qu’ils ne ressortent pas totalement blancs, c’est que ce n’est pas encore parfait !
Et, surtout, j’ai une peau capricieuse. Hyper réactive, très sensible au calcaire. L’idée d’utiliser de l’eau du robinet pour me démaquiller ne m’enthousiasmait pas beaucoup…
... mais qui m'a convaincue depuis !
Mais j’ai tout de même essayé, en utilisant le puff le plus clair, la version blanche – au moins, je peux également m’en servir de test. Et ça fonctionne ! C’est tout doux, hyper efficace : on mouille l’éponge et, en quelques passages, la peau est nickel.
L’éponge blanche suffit largement quand on ne porte qu’une BB crème, par exemple. Si vous utilisez un maquillage plus soutenu, alors la rose ou la beige seront mieux adaptées.
Découvrir l'éponge démaquillante
Ce qui ne réglait pas mon problème de calcaire… Mais qu’à cela ne tienne ! Au lieu de mouiller mon éponge au robinet, je l’humidifie avec mon eau micellaire habituelle, ou encore avec de l’eau minérale. Ou encore, le matin, avec de l’hydrolat de roses – parce que ça sent divinement bon…
Et c’est magique ! Il ne reste plus qu’à rincer l’éponge à l’eau tiède avant de la laisser sécher à l’air libre, et adieu coton démaquillant ! Un petit passage dans la machine à 60 degrés toutes les semaines environ, et elle est comme neuve…
Donc, malgré ma peau de diva et mon côté gnangnan, je les ai adoptées définitivement !
À bientôt pour d’autres tests !
Marie-Pierre
(Article publié le 22/04/2020)
